La Chambre des représentants a adopté, vendredi à la majorité, dans le cadre d’une deuxième lecture, le projet de loi de finances (PLF) n°50.25 au titre de l’année budgétaire 2026.
Lors de la discussion générale devant ladite Commission, la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah, avait souligné que ledit projet illustre les efforts majeurs déployés par le Royaume pour consolider les fondements « de la trajectoire du Maroc émergent », en vue d’une dynamique de développement intégrée conciliant efficacité économique, justice sociale et cohésion territoriale.
En outre, Mme Fettah a indiqué que ce projet revêt une « importance stratégique », permettant de mettre en perspective les avancées accomplies au cours des deux dernières décennies sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui ont contribué à des transformations économiques et sociales profondes et ont tracé les contours du nouveau modèle de développement (NMD).
Et de poursuivre que ce texte budgétaire constitue une « étape charnière » dans la gestion publique, à travers le lancement d’une nouvelle génération de programmes de développement territorial, fondés sur la valorisation des spécificités locales, l’opérationnalisation de la régionalisation avancée et le renforcement de la solidarité entre les territoires.
Ces programmes, a-t-elle relevé, reposent sur la convergence des actions des différents acteurs publics autour de priorités clairement définies et de projets à impact tangible, afin de renforcer la cohésion territoriale et d’assurer des résultats concrets au service du citoyen.
Parallèlement, le PLF 2026 vise à mettre en œuvre les engagements du gouvernement inscrits dans son programme pour la période 2021-2026, en harmonie avec les recommandations du rapport du NMD, qui a défini les priorités du Maroc pour les prochaines décennies, a noté la ministre.
