Il a fallu attendre les douze dernières minutes du temps réglementaire pour faire sauter le verrou syrien, longtemps resté infranchissable.
78’, Chouiar, fraîchement entré en jeu, a déclenché une frappe cadrée. Le gardien a relâché le ballon. Azzaro a alors surgi alors pour pousser le deuxième ballon au fond des filets. Une délivrance logique au vu de la nette domination des Lions.
Le scénario a été similaire en première comme en deuxième période : une équipe résolument offensive face à un bloc syrien totalement replié et très bas. À défaut de trouver des solutions sur les côtés, la consigne était claire en deuxième période : frapper dès que possible. Et cette stratégie a fini par payer.
Ils ont ensuite su et pu gérer leur avantage jusqu’au coup de sifflet final, malgré l’expulsion de Moufid à la 90’+1 pour jeu dangereux, alors qu’il venait tout juste de faire son entrée.
