L’influence d’un pays ne se mesure plus uniquement à l’aune de sa puissance économique ou militaire. Elle se construit aussi, et de plus en plus, à travers sa capacité à rayonner par la culture, le savoir, la création et les figures qui incarnent ses valeurs sur la scène internationale. C’est à cette lecture qu’invite Forbes Africa, en consacrant une sélection de personnalités marocaines présentées comme les ambassadeurs officieux du soft power du Royaume. Artistes, sportifs, scientifiques, écrivains ou entrepreneurs : tous participent, chacun à sa manière, à la projection d’une image plurielle, moderne et influente du Maroc.
Dans le registre du savoir et de la recherche, Forbes Africa met en avant Rachid Yazami, figure emblématique de la science contemporaine. Inventeur de l’anode en graphite des batteries lithium-ion, ce scientifique marocain a joué un rôle déterminant dans l’essor des technologies qui structurent aujourd’hui l’économie mondiale, de l’électronique grand public à la mobilité électrique.
Le champ culturel occupe une place centrale dans cette cartographie de l’influence marocaine. Jamel Debbouze et Gad Elmaleh, figures incontournables de l’humour et du cinéma francophone, sont cités pour leur capacité à bâtir des ponts durables entre le Maroc, la France et l’Amérique du Nord. Par leurs œuvres et leurs trajectoires, ils ont renouvelé la représentation des diasporas maghrébines, imposant un regard à la fois universel et ancré dans une mémoire marocaine assumée.
À cette dynamique s’ajoute Assaad Bouab, acteur dont la carrière internationale illustre l’intégration progressive de talents marocains dans les grandes productions étrangères. Des séries américaines aux succès du cinéma français, son parcours témoigne d’une reconnaissance croissante des artistes marocains dans l’industrie audiovisuelle mondiale.
Sur le terrain littéraire, Forbes Africa souligne le rôle de Tahar Ben Jelloun et de Leïla Slimani comme figures majeures du rayonnement intellectuel du Maroc. Traduites en dizaines de langues, leurs œuvres abordent des thématiques universelles – exil, identité, libertés individuelles, tabous sociaux – tout en restant profondément ancrées dans les réalités marocaines et maghrébines.
Le soft power musical est incarné, selon la publication panafricaine, par French Montana. De Casablanca aux scènes du rap mondial, l’artiste maroco-américain symbolise une trajectoire transnationale où succès artistique, entrepreneuriat et engagement philanthropique se conjuguent.
Dans le domaine sportif, Forbes Africa retient deux figures emblématiques : Badr Hari et Achraf Hakimi. Le premier, kick-boxeur de renommée internationale devenu entrepreneur du sport, incarne une image de combativité et de résilience. Le second, star du Paris Saint-Germain et pilier de l’équipe nationale, est perçu comme un symbole de loyauté et de fierté nationale.
Enfin, l’article met en lumière des acteurs de la création et des médias, à l’image de l’architecte Jamal El Karkouri, qui revisite et modernise les codes architecturaux marocains, et de la productrice Bouchra Réjani, dont les formats audiovisuels circulent entre l’Europe, l’Afrique et le monde arabe.
Le champ culturel occupe une place centrale dans cette cartographie de l’influence marocaine. Jamel Debbouze et Gad Elmaleh, figures incontournables de l’humour et du cinéma francophone, sont cités pour leur capacité à bâtir des ponts durables entre le Maroc, la France et l’Amérique du Nord. Par leurs œuvres et leurs trajectoires, ils ont renouvelé la représentation des diasporas maghrébines, imposant un regard à la fois universel et ancré dans une mémoire marocaine assumée.
À cette dynamique s’ajoute Assaad Bouab, acteur dont la carrière internationale illustre l’intégration progressive de talents marocains dans les grandes productions étrangères. Des séries américaines aux succès du cinéma français, son parcours témoigne d’une reconnaissance croissante des artistes marocains dans l’industrie audiovisuelle mondiale.
Sur le terrain littéraire, Forbes Africa souligne le rôle de Tahar Ben Jelloun et de Leïla Slimani comme figures majeures du rayonnement intellectuel du Maroc. Traduites en dizaines de langues, leurs œuvres abordent des thématiques universelles – exil, identité, libertés individuelles, tabous sociaux – tout en restant profondément ancrées dans les réalités marocaines et maghrébines.
Le soft power musical est incarné, selon la publication panafricaine, par French Montana. De Casablanca aux scènes du rap mondial, l’artiste maroco-américain symbolise une trajectoire transnationale où succès artistique, entrepreneuriat et engagement philanthropique se conjuguent.
Dans le domaine sportif, Forbes Africa retient deux figures emblématiques : Badr Hari et Achraf Hakimi. Le premier, kick-boxeur de renommée internationale devenu entrepreneur du sport, incarne une image de combativité et de résilience. Le second, star du Paris Saint-Germain et pilier de l’équipe nationale, est perçu comme un symbole de loyauté et de fierté nationale.
Enfin, l’article met en lumière des acteurs de la création et des médias, à l’image de l’architecte Jamal El Karkouri, qui revisite et modernise les codes architecturaux marocains, et de la productrice Bouchra Réjani, dont les formats audiovisuels circulent entre l’Europe, l’Afrique et le monde arabe.
